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Revue de presse

CD : The Legend of Josquin Desprez


« Si ce disque est aussi captivant, c’est grâce à la cohésion exemplaire, à la justesse parfaite et surtout à la musicalité inspirée de La Sestina, qui s’affirme décidément comme l’un des meilleurs ensembles de musique Renaissance du moment. »

 

Antoine Pecqueur, Revue musicale de Suisse romande, septembre 2014

                                           http://www.rmsr.ch/cadres.htm

Concert : Cristóbal de Morales
Motets, Leçons pour l’office des morts, Requiem à 5 voix


« Un grand moment de musique à la mesure de Cristóbal de Morales

Il convient de relever ici la plénitude rendue à ces pages par les solistes [de l’Ensemble La Sestina]. Puis l’atmosphère de l’exécution […] s’est transformée en célébration sous la ferveur des interprètes. […] La Sestina a déployé non seulement la sûreté de son style, intelligence et sensibilité, mais encore la discipline régnant dans son sein. »

 

Denise de Ceuninck, L’Express/L’Impartial, 4 novembre 2013

                                                          https://www.arcinfo.ch/

CD : Francisco Guerrero—The Angel’s Voice


« Reinheit, Klarheit und Wohlklang sind gefragt, Sauberkeit der Intonation sowieso. Dafür braucht man handverlesene Sänger, und Adriano Giardina hat ebensolche in seinem Ensemble La Sestina [...] Alles klingt homogen, alles mischt sich und fließt fast ineinander, dennoch treten die Konturen klar hervor – eine großartige Interpretationsleistung. »

Michael Wersin, Rondo, 26 mars 2011

                                                                                                      https://www.rondomagazin.de/

« La Sestina’s throatier, plangent timbres, edgy phrasing and soloistic approach are all the more to the point in a selection of seven sacred madrigals published in 1589. O Virgen, quand’os miro is a highlight, in which La Sestina’s tangibly articulated, teasing relish of its tripping rhythms and vernacular style takes us a world away from the impersonal grandeur of the better-known Battle Mass and its (mostly English) recordings. »

Peter Quantrill, Gramophone, juillet 2011

                                                                                https://www.gramophone.co.uk/

CD : Tomás Luis de Victoria—Motecta 1572


« Les voix des quinze chanteurs ont beaucoup de personnalité individuelle, les timbres sont beaux, l'harmonie est toute en souplesse, sans rien perdre de la définition des lignes. […] La plus simple prière de-vient hypnotique, empreinte d'une joie profonde. »

                                                                                   Michèle Fizaine, Midi Libre, 12 mars 2007

https://www.midilibre.fr/

« La Sestina is a group new to me, but on the evidence of Victoria: Motecta 1572, it has a bright future ahead. The recording contains 14 motets from the 1572 book, in performances of singular warmth but also of great clarity, and, that rare thing, a genuine internal balance so that all the voices are equal. La Sestina's young conductor, Adriano Giardina […] also knows exactly how to shape the music, without exaggeration but always with a sense of emotional involvement; I very much hope that this disc is the precursor of others. »

Yvan Moody, Early Music, 36/1, 2008

https://academic.oup.com/em

CD : L’Album de Marguerite d’Autriche


« Aucun [autre projet voisin] n’offre une image aussi complète de cette fascinante "anthologie du spleen princier" que La Sestina. [...] la sélection concoctée par Adriano Giardina est de première importance et permet à son ensemble vocal, à la sonorité riche et pleine, de faire la preuve de ses belles capacités. Il faut désormais compter avec La Sestina. »

 

David Fiala, Diapason, juillet-août 2005

         https://www.diapasonmag.fr/

Concert : Roland de Lassus
Psaumes de pénitence, Missa pro defunctis à 5 voix


« Une délectation pour l’âme

Comme un large fleuve majestueux, le flot musical s’écoule en minuscules cascades, contenu et guidé par les doigts agiles du chef de chœur qui travaille les voix comme il le ferait des touches de son clavecin. […] Adriano Giardina et ses talentueux musiciens […], en redonnant vie à cet exigeant répertoire, réveillent en nous le goût de la transcendance et du sacré. »

Le Journal du Nord-Vaudois, 30 mars 2001

https://www.laregion.ch/

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